The 140 workers walked off the job

The 140 workers walked off the job on August 22 after EBA negotiations broke down. The Construction Forestry Mining and Energy Union (CFMEU) had conducted 16 bargaining meetings with the company since the old agreement expired in early April 2014.

Throughout the negotiations the company has dismissed demands for the maintenance of current rates of pay, thereby signalling a push for direct pay cuts. Already, by deliberately delaying reaching a new agreement, the company has effectively imposed a more than two-year wage freeze.

Результаты (французский) 1:

Les 140 travailleurs s’éloigna le travail le 22 août, après que des négociations EBA est tombé en panne. La Construction foresterie Mining et Energy Union (CFMEU) avaient effectué 16 réunions de négociation avec l’entreprise depuis que l’ancien accord expiré en début avril 2014.Tout au long des négociations, la compagnie a rejeté réclament le maintien des taux actuels de rémunération, signalisation ainsi un coup de pouce pour les coupes de payement direct. Déjà, en retardant délibérément pour atteindre un nouvel accord, la société a effectivement imposé un gel des salaires deux ans de plus.

Результаты (французский) 2:

Les 140 travailleurs ont quitté le travail le 22 Août après que les négociations ont été rompues TSA. L'Union Construction Forêts Mines et de l' énergie (CFMEU) avait mené 16 réunions de négociation avec la compagnie depuis l'ancien accord a expiré en début Avril 2014.

Tout au long des négociations , la société a licenciés exigences pour le maintien des taux actuels de rémunération, signalant ainsi une poussée pour des réductions de salaire direct. Déjà, en retardant délibérément pour atteindre un nouvel accord, la société a effectivement imposé un gel des salaires de plus de deux ans.

Результаты (французский) 3:

140 travailleurs a quitté son emploi le 22 août après l"abe la rupture des négociations.la construction foresterie mines and energy union (négociation cfmeu) a effectué 16 réunions avec l"entreprise depuis l"ancien accord expiré au début d"avril 2014.tout au long des négociations, la société a rejeté les demandes de maintien de taux de rémunération actuel, signalant ainsi un coup de pouce pour les baisses de salaires directs.déjà, par délibérément reporter la conclusion d"un nouvel accord, l"entreprise a effectivement imposé un gel des salaires de plus de deux ans.