The next round of globalization is

The next round of globalization is under way. Who will the big winners be?
The handwriting is on the wall; writes an IT specialist at the Bank of America. Until recently the bank needed talent so badly it had to outbid rivals. But last fall, his entire 15-engineer tearn was told their jobs were redundant. Bank of America has already slashed 3,700 of its 25,000 technical and back-office jobs and more are to follow.
Corporate downsizings are nothing new. These layoffs, thougharen't happening because demand has dried up; one-third of thoses jobs are headed to India, where work that costs $100 an hour in the US gets done for $20. At lnfosys Technologies Ltd. in Bangalore, India, 250 engineers are developing Computer applications for Bank of America. About 1,600km north, at Wipro Spectramind Ltd. 2,500 young college-educated men and women are checking accident reports for an insurance company and providing help-desk support for a big internet service provider — all at a cost up to 60% lower than in the USA.
It's globalization's next phase — and one of the biggest trends reshaping the global economy. The first phase started two decades ago with the transfer of manufacturing jobs to economically developing countries. After that, simple service work, like processing credit card receipts, and digital labor, like writing software code, began fleeing high-cost countries.
Now, all kinds of knowledge work can be done almost anywhere. The driving forces are digitization, the Internet, and high-speed data networks that circle the globe. By mining databases over the Internet, offshore staff can check individual credit records, analyse corporate financial information, and search through oceans of economic statistics.
The impact of offshore hiring is hard to measure, since so far a tiny portion of US white-collar work has jumped overseas. Indeed, a case can be made that the US will see a net gain from this shift. In the 1990s, the USA had to import hundreds of thousands of immigrants to ease engineering shortages. Now, by sending routine service and engineering tasks to nations with a surplus of educated workers, the US labor force and capital can be redeployed to higher-value industries.
Globalization should also keep service prices in check, just as it did when manufacturing went offshore. Companies will be able to reduce overheads and improve efficiency. 'Our comparative advantage may shift to other fields,' says economist Robert Lipsey, 'and if productivity is high, then the US will maintain a high standard of living. By encouraging economic development in nations such as India, meanwhile, US companies will have expanded foreign markets for their goods and services.
Outsourcing experts say the big job migration has only just begun. Frances Karamouzis, research director at Gartner Inc., expects 40% of the USA's top 1.000 companies to have an overseas pilot project under way within two years. The really big offshore push won't be until 2010 or so, she predicts. But if big layoffs result at home, corporations and the US government will face a backlash. Some states are already pushing for legislation to stop public jobs from being transfered overseas and now the unions are moving into the fight to keep jobs at home.
The truth is, the rise of the global knowledge industry is so recent that most economists haven't begun to understand the implications. For developing nations, the big beneficiaries will be those offering the speediest and cheapest telecom links, investor-friendly policies, and ample college graduates. In the West, it's far less clear who will be the big winners and losers. But well soon find out.

Результаты (французский) 1:

La prochaine série de mondialisation est en cours. Qui seront les grands gagnants ? L'écriture est sur le mur ; écrit un spécialiste informatique à la Bank of America. Jusqu'à récemment le talent de banque nécessaire si mal il devait rivaux de surenchère. Mais l'automne dernier, son ensemble tearn 15-ingénieur avait été informé de que leur emploi était redondants. Bank of America a déjà réduit de 3 700 de ses 25 000 emplois techniques et back-office et d'autres sont à suivre. Des réductions ne sont pas nouvelles. Ces licenciements, thougharen't qui passe parce que la demande s'est tarie ; un tiers de ces emplois sont dirigés vers l'Inde, où travaillent qui coûte 100 $ une heure aux États-Unis se faite pour 20 $. À lnfosys Technologies Ltd. à Bangalore, en Inde, 250 ingénieurs mettent au point des applications informatiques pour Bank of America. Environ 1 600 km au nord, Wipro Spectramind Ltd. 2500 jeunes diplômés hommes et femmes sont vérification des rapports d'accident pour une compagnie d'assurance et assistance soutenant un grand fournisseur de services internet — tout à un coût jusqu'à 60 % inférieur aux USA. C'est la prochaine phase de la mondialisation — et l'une des plus grandes tendances remodeler l'économie mondiale. La première phase a commencé avec le transfert d'emplois économiquement les pays en développement il y a deux décennies. Après cela, service simple, comme traitement des reçus de carte de crédit et le travail numérique, comme la rédaction de code logiciel, entreprit la fuyant le pays de desserte à coût élevé. Maintenant, toutes sortes de travaux de connaissance peuvent se faire presque n'importe où. Les forces motrices sont l'Internet, la numérisation, et réseaux de données haute vitesse ce cercle du globe. Par bases de données minières sur Internet, personnel offshore peut vérifier les dossiers de crédit individuel, analyser l'information financière corporative et parcourir les océans des statistiques économiques.L'impact de l'embauche au large est difficile à mesurer, depuis jusqu'ici une infime partie d'US travail cols blanc a bondi outre-mer. En effet, une affaire peut être faite que les Etats-Unis verront un gain net de cette évolution. Dans les années 1990, les Etats-Unis devaient importer des centaines de milliers d'immigrants pour soulager la pénurie d'ingénieurs. Maintenant, par l'envoi de maintenance contractuelle et ingénierie auprès des Nations Unies avec un excédent de travailleurs scolarisés, les États-Unis labor force et capital peut être redéployé pour les industries à valeur ajoutée.La mondialisation devrait également garder prix service en échec, comme il l'a fait quand fabrication sont allés au large. Les entreprises seront en mesure de réduire les frais généraux et d'améliorer l'efficacité. « Notre avantage comparatif peut se déplacer à d'autres domaines, » dit économiste Robert Lipsey, "et si la productivité est élevée, alors que les Etats-Unis maintiendra un niveau de vie élevé. En encourageant le développement économique dans les pays comme l'Inde, dans le même temps, les entreprises américaines ont élargira marchés étrangers pour leurs biens et services.Impartition experts disent que la migration du gros travail ne fait que commencer. Frances Karamouzis, directeur de recherche chez Gartner Inc., prévoit que 40 % des top 1,000 entreprises États-Unis d'avoir un projet pilote d'outre-mer en cours dans les deux ans. Le très gros push offshore ne sera pas jusqu'en 2010 ou alors, elle prédit. Mais si gros licenciements d'entraîner à la maison, les sociétés et le gouvernement américain affrontera un contrecoup. Certains États font déjà pression pour législation visant à arrêter des travaux publics de transféré outre-mer et maintenant les syndicats avancent dans la lutte pour garder les emplois à domicile.La vérité, c'est l'essor de l'industrie mondiale de la connaissance est si récente que la plupart des économistes n'ont pas commencé à comprendre les implications. Pour les pays en développement, les grands bénéficiaires seront ceux proposant les liens télécom plus rapide et la moins chère, politiques favorable aux investisseurs et ample diplômés. En Occident, il est beaucoup moins clair qui seront les grands gagnants et les perdants. Mais bien vite le savoir.

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La prochaine ronde de la mondialisation est en cours. Qui seront les grands gagnants soient?
L'écriture est sur ​​le mur; écrit un spécialiste en informatique à la Bank of America. Jusqu'à récemment, la banque devait talent si mal qu'il avait de surenchérir rivaux. Mais l'automne dernier, toute sa TEARN 15-ingénieur a dit leurs emplois étaient redondantes. Bank of America a déjà réduit de 3.700 de ses 25.000 emplois techniques et de back-office et d'autres sont à suivre.
Réductions d'effectifs des entreprises sont rien de nouveau. Ces mises à pied, qui se déroulent thougharen't parce que la demande est tarie; un tiers des thoses emplois sont en route vers l'Inde, où le travail qui coûte 100 $ l'heure aux États-Unis se fait pour 20 $. Au lnfosys Technologies Ltd. à Bangalore, en Inde, 250 ingénieurs développent des applications informatiques pour Bank of America. A propos de 1600 kilomètres au nord, chez Wipro Spectramind Ltd 2.500 jeunes hommes et femmes des études collégiales sont la vérification des rapports d'accidents pour une compagnie d'assurance et de fournir un service d'assistance pour un grand fournisseur d'accès à internet - le tout à un coût jusqu'à 60% inférieur à celui de . les Etats-Unis
Il est prochaine phase de la mondialisation - et l'une des plus grandes tendances qui transforment l'économie mondiale. La première phase a débuté il ya deux décennies avec le transfert d'emplois manufacturiers aux pays en développement économiquement. Après cela, le travail de service simple, comme le traitement des reçus de carte de crédit, et le travail numérique, comme l'écriture de code du logiciel, ont commencé à fuir les pays à coût élevé.
Maintenant, toutes sortes de travail de la connaissance peut être fait presque partout. Les forces motrices sont la numérisation, l'Internet et les réseaux de données à haute vitesse qui gravitent autour du globe. En exploitant des bases de données sur Internet, les effectifs offshore peut vérifier les dossiers de crédit individuels, analyser l'information financière de l'entreprise, et de recherche à travers les océans de statistiques économiques.
L'impact de l'embauche offshore est difficile à mesurer, puisque jusqu'à présent qu'une infime partie d'entre nous travaillent en col blanc a sauté à l'étranger. En effet, un cas peut être fait que les États-Unis voir un gain net de ce changement. Dans les années 1990, les Etats-Unis a dû importer des centaines de milliers d'immigrants à atténuer les pénuries d'ingénierie. Maintenant, par l'envoi d'une mission de service et d'ingénierie de routine pour les pays avec un excédent de travailleurs instruits, la population active des États-Unis et le capital peuvent être redéployés vers des industries à plus forte valeur.
La mondialisation devrait également maintenir les prix de service en échec, tout comme il l'a fait quand la fabrication est allé en mer . Les entreprises seront en mesure de réduire les frais généraux et améliorer l'efficacité. «Notre avantage comparatif peut passer à d'autres domaines», explique l'économiste Robert Lipsey, 'et si la productivité est élevée, puis aux États-Unis sera de maintenir un niveau de vie élevé. En encourageant le développement économique dans les pays tels que l'Inde, quant à lui, les entreprises américaines auront élargi marchés étrangers pour leurs produits et services.
Experts Outsourcing disent la grande migration des emplois ne fait que commencer. Frances Karamouzis, directeur de recherche chez Gartner Inc., attend 40% de top 1.000 entreprises des USA d'avoir un projet pilote à l'étranger en cours dans les deux ans. La très grande poussée en mer ne sera pas avant 2010 ou alors, elle prédit. Mais si grands licenciements résultat à domicile, les sociétés et le gouvernement américain devra faire face à un retour de bâton. Certains états sont déjà pression pour des lois pour empêcher emplois publics d'être transféré à l'étranger et maintenant les syndicats sont en mouvement dans la lutte pour garder les emplois à la maison.
La vérité est, l'essor de l'industrie mondiale du savoir est si récente que la plupart des économistes ont pas commencé à comprendre les implications. Pour les pays en développement, les grands bénéficiaires seront ceux qui offrent les plus rapides et les moins chères liens télécoms, les politiques favorables aux investisseurs, et de grandes diplômés du collégial. Dans l'Ouest, il est beaucoup moins évident qui seront les grands gagnants et les perdants. Mais bien bientôt découvrir.

Результаты (французский) 3:

la prochaine ronde de la mondialisation est en cours.qui seront les grands gagnants?
l'écriture sur le mur; écrit un spécialiste à la bank of america.jusqu'à récemment, la banque avait tellement il avait surenchéri le talent de ses rivaux.mais l'automne dernier, l'ensemble de ses 15 ingénieur tearn a dit leur emploi étaient redondants.bank of america a déjà réduit de 3 700 de ses 25,000 emplois et plus technique et back - office à suivre.
des licenciements ne sont pas nouveaux.ces mises à pied, thougharen arrive pas parce que la demande a séché; un tiers de ces emplois sont dirigés vers l'inde, où le travail que coûte 100 $de l'heure aux États - unis a fait pour 20 $.À lnfosys technologies ltd. à bangalore, en inde, en 250 ingénieurs sont les applications informatiques de bank of america.sur 1600km north, à wipro spectramind ltd. de 2 500 jeunes diplômés de collège, hommes et femmes, contrôle les rapports d'accident pour une compagnie d'assurance et assure des services d'assistance téléphonique pour un fournisseur de service internet - tous au coût de 60% inférieur aux États - unis.
c'est la mondialisation est la prochaine phase - et l'une des plus grandes tendances reshaping the l'économie mondiale.la première phase a commencé il y a deux décennies avec le transfert des emplois de fabrication économiquement les pays en développement.après ça, les services simples, comme le traitement des reçus de carte de crédit, un travail numérique et, comme écrit le code du logiciel, ont commencé à fuir des pays à coûts élevés.- maintenant, toutes sortes de connaissances peut être fait presque n'importe où.les forces motrices sont la numérisation, l'internet,et des réseaux de données à grande vitesse qui font le tour du globe.par l'exploitation de bases de données sur internet, des documents de crédit personnel peut vérifier, analyser l'information financière intégrée, et la recherche dans des océans de statistiques économiques.
l'impact of offshore l'embauche est difficile à mesurer, car jusqu'à présent une infime portion des employés a sauté à l'étranger.en effet,un cas ne peut être faite que les etats - unis vont voir un gain net de ce changement.dans les années 90, les États - unis ont dû importer des centaines de milliers d'immigrants à alléger l'ingénierie des pénuries.maintenant, en envoyant des missions de service et d'ingénierie de routine avec un excédent de travailleurs instruits, les capitaux peuvent être transférés de force de travail et des industries à valeur ajoutée.la mondialisation devrait également continuer à voir des prix des services, comme il l'avait fait lors de la fabrication est allé en mer.les entreprises pourront réduire les frais généraux et améliorer l'efficacité.notre avantage comparatif peut passer à d'autres domaines ", dit l'économiste robert lipsey, « si la productivité est élevée, alors les États - unis de maintenir un haut niveau de vie.en encourageant le développement économique dans des pays comme l'inde, pendant ce temps, les entreprises américaines auront pris de l'expansion des marchés étrangers pour leurs biens et services.
l'externalisation experts disent que le grand exode des emplois a à peine commencé.frances karamouzis, directeur de recherche chez gartner inc., s'attend à ce que 40% des États - unis est top 1.000 entreprises outre - mer ont un projet pilote en cours dans un délai de deux ans.le grand large ou pousser ne sera pas jusqu'en 2010, prédit - elle.mais si les gros licenciements suite à la maison, les sociétés et le gouvernement américain doit faire face à un retour de balancier.certains États sont déjà pression pour une loi afin d'empêcher et emplois publics d'être muté outre - mer maintenant les syndicats avancent dans la lutte pour garder des emplois à domicile. en vérité,l'essor de l'industrie mondiale de connaissances est si récente que la plupart des économistes n'ont pas commencé à comprendre les implications.pour les pays en développement, les grands bénéficiaires seront ceux offrant le plus rapide et le moins cher telecom links, favorables aux investisseurs de politiques et de suffisamment de diplômés de l'université.dans l'ouest, c'est beaucoup moins clair qui seront les grands gagnants et perdants.mais bien vite le savoir.